Manuela Marques, “EN SURFACE”

Gallery Anne Barrault is pleased to present SURFACE, a new solo exhibition of Manuela Marques, with an original set of photographs and one video.

The images she shows today are there to be seen, but the viewer has the feeling no to be able to see below on the surface.There is no horizon to get one’s bearings.These pictures make us see surfaces, unreflecting mirrors. During a whole year, Manuela Marques worked in closed rooms of the Château de Versailles.Counter to the Hall of Mirrors, here the mirrors reflect their own history, scratches, dust; everything is printed for the one who can decipher their messages.In 2017, this work, entitled “La face caché du soleil” was shown, in a solo exhibition, at Lisbon Calouste Gulbenkian Museum.As the art critic Rozenn Canevet puts it: “Manuel Marques initiates a mise en abyme of reality, composing it again and again, until this alchemical porosity between what is exogenous and endogenous emerges. From there, from these images, which are meant to be fixed, you are induced to move among them, to step into them. « Images are abysses » Manuela Marques says. But you do not go out of an abyss, you get lost in it. And indeed, you are confronted with these impossible issues. Everything, absolutely everything, only takes you to impasses, flouting what is inside as well what is outside.”

Manuela Marques presents until May 19, 2019 an important solo exhibition, entitled “Et le bleu du ciel dans l’ombre” at Lodève Museum.On this occasion, a monograph has just been published, by Loco publishers.

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La galerie anne barrault est heureuse d’accueillir « EN SURFACE », une nouvelle exposition personnelle de Manuela Marques, avec un ensemble inédit de photographies et une vidéo.

Les images qu’elle présente aujourd’hui sont là pour être vues mais le regardeur a la sensation de ne pas pouvoir y parvenir et de rester en surface. Ici pas de ligne d’horizon pouvant servir de point d’ancrage.Ces images représentent des surfaces, des miroirs sons reflets. Pendant plus d’une année, Manuela Marques a travaillé dans des salles closes du Château de Versailles.À l’encontre de la galerie des glaces, ici les miroirs reflètent leur propre histoire, rayures, poussières, tout est écrit pour celui qui sait décrypter leurs messages. En 2017, ce travail a fait l’objet d’une exposition personnelle intitulée « La face cachée du soleil » au Musée Calouste Gulbenkian de Lisbonne.Comme l’a écrit la critique d’art Rozenn Canevet : « Manuela Marques instaure ainsi une mise en abyme du réel, le composant et le recomposant jusqu’à l’émergence de cette porosité alchimique entre l’exogène et l’endogène. De là, de ces images qui se veulent fixes, on est amené à y circuler, à s’y engouffrer. « Les images sont des gouffres », nous dit Manuela Marques. Mais d’un gouffre, on ne ressort pas, on s’y perd. Or c’est bien à ces impossibles issues que l’on est confronté. Tout, absolument tout, ne mène qu’à des impasses se jouant de l’intérieur comme de l’extérieur. »

Manuela Marques présente jusqu’au 19 mai 2019 une importante exposition personnelle au Musée de Lodève intitulée « Et le bleu du ciel dans l’ombre ». À cette occasion, une monographie au titre éponyme vient d’être publiée aux éditions Loco.